Hypothèse un délit de « dissimulation de connaissances »

http://artxiker.ccsd.cnrs.fr/docs/00/42/39/46/PDF/artxiker_Veleia.pdf

Miscar 11709 (130) : La première hypothèse est la seule qui puisse être retenue car la deuxième implique tout simplement qu’il y aurait eu de la part de ces auteurs un délit de « dissimulation de connaissances » équivalant en gros à une « dissimulation de preuves », ce qui dans le cadre de cette surprenante affaire de Veleia aurait constitué, à n’en pas douter, un acte de malhonnêteté intellectuelle d’une extrême gravité ― car, rappelons-le, cette affaire « veleyense », une affaire déjà à bien des égards absolument extraordinaire, est actuellement entre les mains de la justice. Cette hypothèse, celle d’une « dissimulation de connaissances », ne pouvant être dans le cas présent sérieusement retenue, il ne reste qu’une seule explication : ces auteurs, considérés pourtant comme l’élite de la recherche en Espagne et au Pays Basque, ignorent tout simplement l’existence de cet anthroponyme d’origine punique. A leur décharge, on insistera à nouveau sur le fait que ce nom de personne n’est connu à travers le monde que par une poignée de spécialistes de très haut niveau et que par conséquent on ne peut reprocher à Yanguas, Ciprés, Velázquez et Gorrochategui de ne pas en avoir eu connaissance. (Hector Iglesias 130 orria)

http://artxiker.ccsd.cnrs.fr/artxibo-00423946/eu/

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