Etiketa honen artxiboa: latin

Hizkuntzalari baten kritika latza, Veleiaren idazkunen benetakotasuna defenditzeko. Sustatu

sustatu.com/1255963827

Veleiako idazkunen inguruko beste kritika gogor bat argitaratu da, Gorrotxategi eta Lakarra hizkuntzalarien lana gogor kritikatuz. Hector Iglesias hizkuntzalariak idatzi du kritika, frantsesez. Euskararen eta euskal testuen ikerketarako IKER erakundearen webgunean argitaratu da.

Iruña-Veleiako grafitoak : eztabaida zientifikoa ireki. Nabarralde

nabarralde.com/eu/agenda/3780-qiruna-veleiako-grafitoak–eztabaida-zientifikoa-irekiq

Hizlariak:

ELISEO GIL ZUBILLAGA : Aztarnategiko zuzendari ohia
IDOIA FILLOY : Aztarnategiko zuzendarikide ohia
JUAN MARTIN ELEXPURU : Euskal Filologiako Doktorea
KOENRAAD VAN DEN DRIESSCHE : Geokimikan Doktorea.

Lekua: GUREA zinema (Kale berria, VILLABONA)
Eguna : URRIAK 22 (OSTEGUNA)
Ordua: 19’00tan.

Antolatzailea :
ARITZA TALDEA

Iruña-Veleia Bilabona

Batzordekoek aipatzen ez dituzten adituak

http://artxiker.ccsd.cnrs.fr/docs/00/42/39/46/PDF/artxiker_Veleia.pdf

Hector Iglesiasen arabera batzordekoek ez dituzte puntako aditu batzuk aipatzen, adibidez Catach (komilak 150 o.), Veikko Väänanen “Le latin vulgaire”, Garndgent, Velazquezez ez omen ditu aipatzen George Mohl, Hugo Schuchardt, Väänanen, Meyer-Lübke, Albert Carnoy (bakarrik Gorrotxategik aipatzen omen du), Angel López García, Alfonso Triana… (Hector Iglesias 202 o.)

Extravagantes

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Gorrochategui : « Tras los comentarios anteriores queda absolutamente claro para quien esto suscribe que… ». « El convencimiento de hallarse ante una falsificación… » « …es total… » « …sin existencia de duda ninguna » « Incluso si no tuviéramos argumentos concretos para la atribuir la falsedad a cada uno de los óstraca aparecidos (cuestión que como digo dista de ser real), con solo tener seguridad absoluta para uno de ellos, se derrumbaría todo el trabajo interpretativo de la estratigrafía propuesta así como de todas las interpretaciones históricas derivadas de ella, quedando todo el conjunto bajo sospecha »… « Es decir, se aplica una especie de regla de transitividad, que afecta solidariamente a todos los elementos aparecidos en el estrato ».

Iglesias (p. 212): La suite, non moins extravagante : « A veces se tiene la sensación de que el impostor ha escrito su texto sobre letras antiguas (o reaprovechándolas), como me parece ser el caso n° 11139, del sector 5. 7 ».

Lakarra (p. 25): « quiero hacer constar explícitamente que la imposibilidad de autenticidad de los supuestos materiales lingüísticos vascos examinados no es ni casual, ni parcial, ni dudosa y además, que no se refiere sólo a la época que pudiera ir del III al V, p.ej. »771. « Realmente, es difícil encontrar de manera tan concentrada — era imposible hacerlo antes de diciembre de 2003 y sigue siéndolo aún hoy en cualquier otra obra que no sea el excelente [sic] y útil Euskera arcaico772 – todos los particularísimos rasgos morfosintácticos veleyenses señalados en el apartado correspondiente del informe ». 772 Il écrit en bas de page : « En realidad, supongo que la distribución general en librería empezaría varios meses más tarde (particularmente en Vitoria), cumplido el trámite tradicional de las editoriales de su presentacion a comienzos de diciembre en la “Feria del Libro y Disco Vasco” de Durango »… Ces commentaires sont absolument extravagants dans le monde de la recherche, en France du moins. (Hector Iglesias p.212)

Gorrotxategi: « Las pruebas deben ser independientes, y solamente al final del necesario trabajo interdicisciplinario podrá llegarse a una conclusión. Es de esperar que en algunas cuestiones todas las disciplinas lleguen a acuerdos mínimos y seguros ». « …pero si ello no fuera así en todos los casos, me toca reivindicar la prelación de la filología para las cuestiones que afectan a la filología, ya que es ésta la que tiene que responder de manera coherente dentro de sus principiosmetodológicos a los problemas planteados por los textos ».

Iglesias (p. 214) Gorrochategui est-il sérieux (et quelque peu prétentieux… ) ou est-ce simplement de l’humour ? « Gorrotxategi: Decía que los óstraca no suponen más del 3% de los grafitos hallados ; no le daba al calvario más de 1% de probabilidad, otro 1% a la mención de los faraones y Nefertiti ; otro 1 % al óstracon de Eneas, por su grafía y flechas ; quizá un 5% a la existencia de nominativos sin -s ». Il ajouter : « …y creo que soy muy generoso »…

Le propos qui va suivre à présent est, en pesant les mots au plus près, absolument… extravagant, du moins dans le monde de la recherche tel qu’on le conçoit en France : « Gorrotxategi: En concreto sería el producto de las probabilidades señaladas : es decir 3/100 x 1/100 x 1/100 x 1/100 x 5/100 : 15/1010 o quince entre diez mil millones »778…

778 Dans son Dictamen, p. 30, Gorrochategui s’était déjà improvisé… statisticien : « El cálculo de probabilidades también apoya claramente la conclusión de que estamos ante una impostura ». Ou encore : « …la probabilidad de que aparezcan todas esas piezas juntas en un solo estrato arqueológico es el producto de las ínfimas probabilidades de cada una de ellas : es decir de 1/10 elevado a un número grande de potencia »… « …pongamos »… Et d’ajouter aussitôt, le plus sérieusement… du monde : « …1/10100 6 »… (Hector Iglesias p. 214)

Les analyses. Hector Iglesias

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Contrairement à Gorrochategui, qui affiche des prétentions exagérées qu’il n’est pourtant pas en mesure de tenir, nous ne croyons pas que l’analyse linguistique, pour précise et talentueuse qu’elle

puisse être, puisse véritablement être une arme permettant de terrasser de façon définitive le doute et de faire le poids face aux analyses menées en laboratoire. (p. 218)

… (p. 219) Mais, comme cela a déjà été dit, si nous ne croyons pas que la linguistique puisse véritablement résoudre cette affaire. Au-delà des études stratographiques et chronologiques classiques et indispensables en archéologie786, seules les analyses en laboratoire sont en mesure de le faire. Il suffit pour cela de soumettre les pièces où figurent les fameuses inscriptions faisant débat. Les pièces concernées sont, semble-t-il, au nombre d’un millier (celles découvertes depuis 2005 jusqu’en 2009) dont une cinquantaine rédigées en basque ou « proto-basque ». Les analyses en laboratoire effectuées jusqu’à présent n’ont concerné, semble-t-il, que quelques pièces et inscriptions. Rien n’empêcherait par conséquent, à notre connaissance du moins, et sauf erreur de notre part, de soumettre d’une part la totalité d’inscriptions rédigées en basque, soit au total une cinquantaine d’inscriptions, ainsi que d’autre part sinon la totalité du moins une grande partie des autres inscriptions, à savoir celles rédigées en latin (mettons par exemple trois cents d’entre elles) à toute une batterie d’analyses très poussées, lesquelles analyses seraient effectuées dans divers laboratoires européens et américains. Si les analyses confirment que ces inscriptions, et non pas simplement les objets où elles figurent, bref si les analyses confirment bien que ces inscriptions n’ont pu être réalisées qu’au début de notre ère, alors nous nous retrouverons contraints, linguistes, historiens et autres spécialistes, Gorrochategui inclus, quand bien même celui-ci protesterait, de nous incliner devant le poids de l’évidence, bref de nous soumettre, bon gré mal gré, devant la réalité telle qu’elle se présente et non telle qu’on aurait voulu qu’elle fût. Aur risque de se répéter, mais encore une fois comment faire autrement, les analyses linguistiques, fussent-elles celles de Gorrochategui, n’auront jamais le dessus sur les analyses de laboratoire. Nous prenons le risque, pas des plus grands il est vrai, de le prétendre. Aucun chercheur affichant des prétentions de sérieux ne pourrait et ne pourra jamais contester sérieusement ce fait. Enfin rappelons que chaque fois que s’est produite au cours de l’histoire une nouvelle découverte, les sceptiques du monde entier se sont levés tels un seul homme. (p. 219)

Diffamation

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2) La prétendue falsification a eu lieu immédiatement après la découverte de ces objets d’époque. C’est cette hypothèse que retiennent clairement, c’est-à-dire qu’ils insinuent en réalité sans prendre la moindre précaution d’usage Gorrochategui et surtout Lakarra, ce qui à un tel niveau de la recherche laisse interdit l’observateur extérieur 785.

785 Mais alors dans ce cas qui aurait pu procédé à cette prétendue falsification si ce n’est les propres archéologues ! L’accusation, à peine voilée, de Gorrochategui et Lakarra est d’une clarté et d’une gravité qui surprend. Disposent-ils cependant de preuves ? Et si oui lesquelles ? Nous ne savons pas ce qu’il en est en Espagne. Mais en France du moins, il semblerait acquis que de telles insinuations publiques, des insinuations figurant de surcroît par écrit dans des rapports officiels, rapports rendus, on le sait, publics par les autorités politiques de la province, des insinuations réitérées en outre publiquement et à plusieurs reprises devant divers médias, seraient probablement, quoique cela reste à vérifier par des hommes de loi, passibles de poursuite pour diffamation. Car en France, au risque de s’abîmer dans des évidences élémentaires, on ne peut accuser sans preuve, fût-ce au moyen d’insinuations voilées, une personne ou un groupe de personnes. (Hector Iglesias 217 o.)

Hypothèse un délit de « dissimulation de connaissances »

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Miscar 11709 (130) : La première hypothèse est la seule qui puisse être retenue car la deuxième implique tout simplement qu’il y aurait eu de la part de ces auteurs un délit de « dissimulation de connaissances » équivalant en gros à une « dissimulation de preuves », ce qui dans le cadre de cette surprenante affaire de Veleia aurait constitué, à n’en pas douter, un acte de malhonnêteté intellectuelle d’une extrême gravité ― car, rappelons-le, cette affaire « veleyense », une affaire déjà à bien des égards absolument extraordinaire, est actuellement entre les mains de la justice. Cette hypothèse, celle d’une « dissimulation de connaissances », ne pouvant être dans le cas présent sérieusement retenue, il ne reste qu’une seule explication : ces auteurs, considérés pourtant comme l’élite de la recherche en Espagne et au Pays Basque, ignorent tout simplement l’existence de cet anthroponyme d’origine punique. A leur décharge, on insistera à nouveau sur le fait que ce nom de personne n’est connu à travers le monde que par une poignée de spécialistes de très haut niveau et que par conséquent on ne peut reprocher à Yanguas, Ciprés, Velázquez et Gorrochategui de ne pas en avoir eu connaissance. (Hector Iglesias 130 orria)

http://artxiker.ccsd.cnrs.fr/artxibo-00423946/eu/

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Estudio de los grafitos por Hector Iglesias. veleia.com

veleia.com/noticia_detallada.php?niv=6&noticia=56

ESTUDIO DE LOS GRAFITOS POR HÉCTOR IGLESIAS

Un nuevo estudio revisa en profundidad y contradice las tesis sostenidas por los expertos en filología de la comisión de Veleia.El amplio y documentado estudio del Dr. en Estudios Vascos Héctor Iglesias (Centre de recherche sur la langue et les textes basques -IKER-, CNRS: UMR5478 – Université Michel de Montaigne – Bordeaux III – Université de Pau et des Pays de l’Adour), pone de manifiesto las inconsistencias e inexactitudes de la argumentación de los filólogos de la comisión, cuyos informes se utilizaron por la Diputación Foral de Álava como una ‘prueba irrefutable’ de la presunta falsedad de los graffiti veleienses.

Esta nueva investigación independiente pone en entredicho, científicamente, los postulados sostenidos por los miembros de la comisión, en especial, los de los profesores Gorrochategui, Lakarra y Velázquez.

En fin, Héctor Iglesias aporta numerosos argumentos de peso científico a favor de la autenticidad de las inscripciones de Veleia, basados en una larga y muy minuciosa demostración difícilmente rebatible.

Su estudio completo puede consultarse en:
http://artxiker.ccsd.cnrs.fr/artxibo-00423946/eu/